Mon parcours
Je m'appelle Carine Allamanno
Née à Nantes, je passe la majeure partie de ma vie en région
Rhône-Alpes.
Autour de la vingtaine je crée des colliers pour le plaisir. Ils plaisent, mes amis demandent à les acheter. On me donne un peu de cuir que je transforme en blagues à tabac.
Je fais des marchés et vends sur internet pendant 15 ans sous le nom Madame Oscar. J’obtiens un CAP bijouterie en 2003.
En 2013 je vis à Belley (Ain), berceau historique du Tanneur. Le Qatar veut y lancer une production de maroquinerie de luxe pour sa marque Qela. Nous sommes 2000 à postuler, je fais partie des 6 retenus.
Formés par le centre technique du cuir et encadrés par des Compagnons du devoir, j’intègre l’équipe de petite maroquinerie*. Pendant un an, j’apprends le métier en travaillant des cuirs d’exception.
Lorsque le chef de projet part avec la caisse, nous sommes remerciés.
En 2013 je vis à Belley (Ain), berceau historique du Tanneur. Le Qatar veut y lancer une production de maroquinerie de luxe pour sa marque Qela. Nous sommes 2000 à postuler, je fais partie des 6 retenus.
Formés par le centre technique du cuir et encadrés par des Compagnons du devoir, j’intègre l’équipe de petite maroquinerie*. Pendant un an, j’apprends le métier en travaillant des cuirs d’exception.
Lorsque le chef de projet part avec la caisse, nous sommes remerciés.
Ainsi s’achève l’expérience la plus heureuse et enrichissante de ma vie.
Je quitte Belley et m’installe à Lyon dès la fin de cette aventure. Je crée des sacs qui plaisent mais je n’ai pas (encore) envie de me lancer en solo et ne trouve pas de maroquinier pour m’accueillir.
Je deviens vendeuse pendant 6 ans auprès de producteurs locaux dans un magasin de vente directe. Ce travail a du sens et des valeurs que je partage mais je m’y ennuie. Après deux alertes au burn out, une rupture conventionnelle me permet revenir au métier qui m’a rendu le plus heureuse: la maroquinerie.
J’obtiens le CAP en mai 2023. J’ai envie de proposer une maroquinerie différente avec une offre masculine importante.
Je quitte Belley et m’installe à Lyon dès la fin de cette aventure. Je crée des sacs qui plaisent mais je n’ai pas (encore) envie de me lancer en solo et ne trouve pas de maroquinier pour m’accueillir.
Je deviens vendeuse pendant 6 ans auprès de producteurs locaux dans un magasin de vente directe. Ce travail a du sens et des valeurs que je partage mais je m’y ennuie. Après deux alertes au burn out, une rupture conventionnelle me permet revenir au métier qui m’a rendu le plus heureuse: la maroquinerie.
J’obtiens le CAP en mai 2023. J’ai envie de proposer une maroquinerie différente avec une offre masculine importante.
Pakekan nait en 2024. J’ai 50 ans
*petite maroquinerie: concerne les petits articles, du porte-carte au compagnon
